La perversion n' est pas une maladie, elle est un choix. Ce sont ses proies qu' elle rend malades.
Le prédateur ou la prédatrice a besoin de se nourrir des émotions, de la joie de vivre de l' autre. Et
l' autre en face finit par s' épuiser psychologiquement.
Les " victimes ", comme elles sont profondément humaines, vont longtemps essayer de comprendre, en cherchant des excuses au ( à la ) prédateur/trice. Car s' ils n' éprouvent pas d' amour, la victime, elle, aime... Et lorsque cette dernière se rebelle, les choses se dégradent.
En effet, ce type d' individus, pervers narcissiques, ne se remettent jamais en question, cultivent le déni de la réalité au quotidien en reportant toujours la faute sur " l' autre ".
( condensé d' un entretien de Dominique Tayebaly, psychanaliste, auteure de " Pour en finir avec les pervers narcissiques ", éditions Bréal ).
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