jeudi 12 mai 2016
ON Y VIENT
Il fallait voir les sourires (ou rictus) supérieurs du premier ministre et de ses ministres annexes, Macron mon con, et El Khonn...., piètrement suffisants, pendant l' intervention du député Chassaigne, qui n est pourtant pas le camarade dont je me sens le plus proche, pendant le débat sur la motion de censure. Paul le Frondeur socialiste dénonçait ailleurs : " ce n' est plus le parti du compromis, mais le parti du mépris. ". Ce soir c' était écoeurant d' évidence ! Pourtant, Paul en est toujours. Et pendant ce temps, la pente que j' appelle mussolinienne des socialistes français s' accentue avec violence et perversion. Ça ne sombrera PAS au marais même si cela sent de plus en plus mauvais. Heureusement, il y a un mouvement populaire qui persiste à défaut qu' il lui faudrait s' amplifier comme de tout à fait nécessaire. Et qui pourrait donner un peu de courage aux frondeurs du PS.
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